12/10/09

Les présentateurs des journaux du premier monde posent aussi de questions stupides o en todos lados se cuecen habas.

J’ai vu le dernier lundi sur tv5 monde un présentateur qui interviewait un archéologue français, je crois un spécialiste de la culture Teotihuacana, en raison de l’exposition : à la découverte de Teotihuacan, une civilisation mystérieusement disparue. Ils ont parlé justement du mystère qu’on trouve dans la disparition de cette culture et, en plus, des rites funéraires. L’archéologue disait qu’au Mexique la mort est du même coté que la vie, que la mort et la vie ne sont pas des choses contraires, comme des choses qu’on peut métrer à la main gauche et à la main droit. A mon avis, je pense qu’on exagère toujours quand ton parle de ce sujet, la tradition de célébrer le jour des morts (la toussaint) joyeusement, est en train de se perdre; c’est de plus en plus rare qu’on célèbre ce jour. Je crois les mexicains ont le même peur d’en parler, on ne veut plus parler d’elle, on ne veut plus se moquer d’elle. Mais bon, comme on a prévu ils on fait mention du sujet des rites sacrificiels, et comme toujours, il y a quelqu’un pour poser une question stupide. Le présentateur a questionné l’archéologue si on peut lier ce rite, barbare évidement, avec la violence qu’on vie aujourd’hui au Mexique.
Mais c’est quoi cette merde! Qu’est-ce qu’il a à voir un rite religieux d’une civilisation qui a été presque exterminé par les espagnoles, qui a bien disparu ça fait un demi-millénaire, avec un problème actuel de trafique d’armes et un lute par le territoire et le marché de la drogue? Il existe la génétique, bien sur, mais le poser comme ça, c’est une exagération. De mon point de vu, la violence est commun a toute l’humanité, elle s’intensifiée dans certaine contexte et devient précisément physique quand c’est le physique qui manque, quand ce sont les choses matérielle qui manque, c'est-à-dire dans la pauvreté. De plus, je crois qu’on oublie que les peuples latino-américains sont métis, le problème est plus compliqué. Il y a aussi les espagnoles avec la tauromachie, une fête certainement violente. Si on visite le Mexique je pense qu’on y peut voir que c’est difficile a dire si on a plus d’espagnol ou plus de ces peuples précolombiennes. Evidement on ne peut non plus déduire que la violence qu’on vivre dans le Mexique a son origine dans la manifestation de violence qu’on voit dans la fête espagnole de la tauromachie; ça serait même stupide.
En tout cas, je pense c’est évidente que la violence qu’on vie aujourd’hui au Mexique est un problème plus compliqué. C’est une histoire plus complexe, comme celle des peuple africains, comme celle des peuple musulmanes. Et que du même coté on ne peut pas la réduire à un simple date perdu dans l’histoire d’un peuple. Et que, paradoxalement, on peut mettre sur certains concepts: la pauvreté, la corruption, l’injustice, l’inégalité, etc.
On voit donc, même que la violence est commun à l’humanité; il en va de même pour la stupidité.


4 comentarios:

Anónimo dijo...

la question de la relation entre le jour de la mort et la violence dans le pays est stupide, pourquoi écrire en français?

Anónimo dijo...

ah, ya entendi -_-
saludos =)

°venganza dijo...

Sólo por practicar. Es 2x1, sólo que no es una oferta para el público, es una promoción personal que sólo me beneficia a mí.
Chale, que egoísta... Intentaré remediarlo.

Saludos!

Anónimo dijo...

mmm très bien, casi entendí todo, ...Mexique la mort est du même coté que la vie, buena justificación...
je t'aime beaucoup!