17/11/09

Re-tardado

Tenía esté post desde hace ya varios días, pero no lo había subido porque estaba muy ocupado no haciendo nada… bueno, haciendo otras cosas principalísimas pero particularmente no haciendo nada. Ahora, como me da hueva escribir otro, lo subo tal y como iba quedando y hasta como quedó.

* j’avais ce post ça fait déjà plusieurs jours, mais je ne l’avais pas téléchargé parce que j’étais très occupé en me consacrant a l’oisiveté… bon, j’étais en train de faire autres choses très importantes mais principalement je fainéant. Maintenant alors, comme je fainéant j’ai de la paresse pour écrire un autre post, donc je le laisse comme il était déjà fait.

1.1 (Sigo siendo pos-moderno): Ya no hay pasión. Quizás he muerto y nadie me ha informado. Sólo me resta dedicarme a la destrucción y a la burla, por costumbre, no por convicción. O resucitaré al tercer día. O, más bien, en unos meses; parece que la fe está en huelga o FeCal la desapareció como parte de su paquete económico para combatir la pobreza.
1.2 (De la metonimia): Hace ya algunos años no lograba entender el concepto más acertado de metonimia, la diferencia sustancial que tenía con metáfora (en realidad no la tiene). Le pregunté a un maestro de la universidad y no supo responderme. Ahora tengo un ejemplo súper: “huele a nalgas”.
1.3 (preferencias retóricas): En realidad me gusta más la catacresis que la metonimia y pienso que el mamón de Lacan debió incluirla en su modelo-lingüístico del inconsciente. La metonimia por el desplazamiento, la metáfora por la concentración y la catacresis por la suplantación extranjera de los objetos que nunca fueron bautizados. Estructura, esta última, que Segismundo F. debió incluir en su “interpretación de los sueño”. Ok, ahora agradézcanme por completar y perfeccionar la teoría psicoanalítica mientras pierdo el tiempo en mi trabajo.
1.4 (Pásele güerita, cuantos va llevar!): Acabo de terminar esta obra decorativa... que no sirve más que para hacer que su sala se vea nice, pero que en manos de un crítico pedante podría ser la manga del mismísimo muerto… Así, a $50,000 le vale, a $50,000 le cuesta. Bueno, esta ya está vendida. Pero si le sobra el dinero y le sobra espacio en sus paredes, si las siente vacías, favor de comunicarse conmigo; nosotros le llenamos ese huequito, le enchulamos su espacio (sin albur). Le manejamos lo que viene siendo el estilo surrealista, el informalismo europeo, el minimalista, el conceptual, el expresionista abstracto, el retrato pop-art, el retrato expresionista, el retrato hiperrealista, el cubista. Si no conocemos el estilo que pide lo buscamos en google, si no lo encontramos lo inventamos. Compare precios, los de nosotros son menos baratos. Y recuerde, menos barato no siempre significa mayor calidad.



Pd: Asesinaron a geocities, se lo llevó la chingada con la plantilla del blog y mis imágenes, disculpe las molestias que ello pueda ocasionarle.
Pd1: Esto no es un posdata: Me fui unos días a mi rancho. Tierra donde se castiga a los menores infractores, se promueve el homosexualismo, la violencia física, la violencia psicológica, el abuso sexual y demás violaciones a los derechos humanos en una sola y única exhibición. Lo cual segurito ha de ser parte del plan de austeridad del gobierno estatal; todo de una sola vez, a un mismo tiempo, en un solo esfuerzo. Por otra parte, no pasó nada relevante, estuve alcoholizado todo los días hasta que la cruda me alcanzó el día de muertos (y no es esa cruda que ustedes cerdos mexicanos-albureros están pensando; bueno, yo también). Sentimientos encontrados, un letrero que da la bienvenida a “Tepic de Nervo”, un gran escritor; Juan Escutia, una gran mentira, de menos el letrero no dice “Tepic de Escutia”; la ciudad está plena de narcotraficantes, los que no son se creen; es difícil conducir allí, extraño para una ciudad tan pequeña; lo único que cambia en ella es el color de los edificios y las enormes casas que la gente construye y los cada vez más autos y camionetas lujosos y la más gente con menos trabajo y los brotes de dengue; y Nervo escribió una vez: “Ya no hay un dolor humano que no sea mi dolor; /ya ningunos ojos lloran, ya ningún alma se angustia /sin que yo me angustie y llore; /ya mi corazón es lámpara fiel de todas las vigilias…” pobre Amado Nervo.


*1.1 (Je suis encore post - moderne) : Il n’y a plus de la passion. Peut- être je suis mort et personne m’a pas informé. Il ne reste plus que je me consacre à la destruction et à la moquerie ; pas par conviction, bien plus par habitude. Ou peut-être je ressusciterai le troisième jour, ou plus bien le troisième mois; il semble que la foi est en grève ou que FeCal (Felipe Calderón) l’a fait disparaitre comme partie de son plan économique pour attaquer la pauvreté.
1.2 (De la métonymie): Quand j’étais à l’université je ne pourrais pas concevoir un concept précis de métonymie, je ne pourrais pas comprendre la différence exacte entre la métonymie et la métaphore. J’ai interrogé un de mes professeurs et il n’a pas pu me répondre. Mais maintenant j’ai un exemple bien chouette : « huele a nalgas ».
1.3 (Préférences rhétoriques) : La vérité, c’est que j’aime plus la catachrèse que la métonymie et je pense que le connard de Lacan il a du l’inclure comme partie de son model – linguistique de l’inconscient. La métonymie par le déplacement, la métaphore par la concentration, la catachrèse par la supplantation étrangère des objets que n’ont pas été baptisé. Structure, cette dernière, que Sigismundo F. a du inclure dans sa théorie pour « l’interprétation des rêves ». Ok, maintenant il faut que vous me remerciiez puis que j’ai complété et perfectionné la théorie psychanalytique pendent je perde le temps dans mon travail.
1.4 (combien allez-vous acheter de mes peintures?) : Je viens de finir cette ouvre décoratif, elle ne serve que pour rendre chic votre salle de séjour, mais dans les mains d’un critique pédante elle pourrait être l’art par antonomase… vous pourriez avoir un de cette peintures par $50,000 (00/000 m.n.). Bon, celle-ci est déjà vendue. Mais si vous avez argent d’excédant et si vous avez de espace libre dans ses murs, si vous les sentez vides, s'il vous plaît contactez-nous. Nous remplirons ce petit creux, nous embellissons votre espace… ici, il suivrait une blague, mais je la trouve vraiment difficile à traduire, je m’excuse.

Postdate: ils sont tué geocities et tout mes images et la template du blog sont allé se faire foutre.
Postdate1: je suis allé au village où je suis né. Là, on punisse les jeunes délinquants, on promeut l’homosexualité, la violence physique, la violence psychologique, l'abus sexuel et de plus violation des droits de l’homme, dans une seule exhibition. Cela fait parti, je crois, du plan d’austérité du gouverneur ; tout dans seul fois, dans un seul temps, dans un seul effort. En parlant d'autre chose, je fainéant, j’ai resté tous les jours alcoolisé jusqu’à que la gueule de bois est arrivé le jour de la toussaint. Aussi il y eu de sentiment opposé, un écriteau qui donne la bienvenu au Tepic de Nervo, un grand écrivain; Juan Escutia un grand mensonge, au moins l’écriteau ne dit pas « Tepic de Escutia » ; la ville est plein de narcotrafiquants, ces qui ne sont pas ils croient l’être ; c’est difficile de conduire là, c’est bizarre pour une ville trop petite ; les seuls choses que change là c’est la couleur des bâtiments et les énormes maisons que la gens construisent et la chaque fois plus de voitures luxueux et la plus de gens sans travail et les infectés de dengue ; et Nervo a écrit : « Il n’y a plus un douleur humain que ne sois pas mon douleur/ aucuns yeux pleurent ni âme qui tombe dans l'angoisse/ sans que je pleure et je tombe dans l’angoisse/ déjà mon cœur est lampe de fidèle de tous les veilles… » ; le pauvre Amado Nervo.

15/10/09

Ich komme zum 10. Oktoberfest

Comercial local.

Están invitados al oktoberfest No. 10 en Querétaro. Es una fiesta tradicional Alemana que se celebra en Baviera, para ser más precisos en Múnich. Asegún que con mucha historia, y años y años de tradición y bla… bla… bla. Lo cierto es que son unos días que los alemanes y los visitantes extranjeros se ponen hasta la madre con pura chela y se visten como mamertos y mamertas, por su puesto. El simulacro de acá no será muy distinto en ese punto (digo en lo de la cerveza y en ponerse hasta la madre), claro que con menos chelas, menos gente y menos embutidos.

Para información sobre el lugar, horario y cooperación, dele clic acá.

Auf wiedersehen!

12/10/09

Les présentateurs des journaux du premier monde posent aussi de questions stupides o en todos lados se cuecen habas.

J’ai vu le dernier lundi sur tv5 monde un présentateur qui interviewait un archéologue français, je crois un spécialiste de la culture Teotihuacana, en raison de l’exposition : à la découverte de Teotihuacan, une civilisation mystérieusement disparue. Ils ont parlé justement du mystère qu’on trouve dans la disparition de cette culture et, en plus, des rites funéraires. L’archéologue disait qu’au Mexique la mort est du même coté que la vie, que la mort et la vie ne sont pas des choses contraires, comme des choses qu’on peut métrer à la main gauche et à la main droit. A mon avis, je pense qu’on exagère toujours quand ton parle de ce sujet, la tradition de célébrer le jour des morts (la toussaint) joyeusement, est en train de se perdre; c’est de plus en plus rare qu’on célèbre ce jour. Je crois les mexicains ont le même peur d’en parler, on ne veut plus parler d’elle, on ne veut plus se moquer d’elle. Mais bon, comme on a prévu ils on fait mention du sujet des rites sacrificiels, et comme toujours, il y a quelqu’un pour poser une question stupide. Le présentateur a questionné l’archéologue si on peut lier ce rite, barbare évidement, avec la violence qu’on vie aujourd’hui au Mexique.
Mais c’est quoi cette merde! Qu’est-ce qu’il a à voir un rite religieux d’une civilisation qui a été presque exterminé par les espagnoles, qui a bien disparu ça fait un demi-millénaire, avec un problème actuel de trafique d’armes et un lute par le territoire et le marché de la drogue? Il existe la génétique, bien sur, mais le poser comme ça, c’est une exagération. De mon point de vu, la violence est commun a toute l’humanité, elle s’intensifiée dans certaine contexte et devient précisément physique quand c’est le physique qui manque, quand ce sont les choses matérielle qui manque, c'est-à-dire dans la pauvreté. De plus, je crois qu’on oublie que les peuples latino-américains sont métis, le problème est plus compliqué. Il y a aussi les espagnoles avec la tauromachie, une fête certainement violente. Si on visite le Mexique je pense qu’on y peut voir que c’est difficile a dire si on a plus d’espagnol ou plus de ces peuples précolombiennes. Evidement on ne peut non plus déduire que la violence qu’on vivre dans le Mexique a son origine dans la manifestation de violence qu’on voit dans la fête espagnole de la tauromachie; ça serait même stupide.
En tout cas, je pense c’est évidente que la violence qu’on vie aujourd’hui au Mexique est un problème plus compliqué. C’est une histoire plus complexe, comme celle des peuple africains, comme celle des peuple musulmanes. Et que du même coté on ne peut pas la réduire à un simple date perdu dans l’histoire d’un peuple. Et que, paradoxalement, on peut mettre sur certains concepts: la pauvreté, la corruption, l’injustice, l’inégalité, etc.
On voit donc, même que la violence est commun à l’humanité; il en va de même pour la stupidité.


5/10/09

Il y a des choses que je ne peux pas dire dans ma propre langue

De nuevo entonces. En realidad no tengo que dar explicaciones de por qué o cómo o cuándo; este lugar no tiene forma. Sin embargo, al decirlo ya lo estoy haciendo, algo se configura (i hate you automatic dialectics).
Pensaba que cuando no me despedía o no saludaba a la gente lo hacía porque soy tímido, pero uno no puede ser tímido por aquí, o sí?, como sea supongo que es porque soy mal educado o distraído… Distraido. Un día olvidé mi cumpleaños, mi madre y mi hermana me daban un abrazo por la mañana, muy confundido no quería preguntar por qué tal muestra de afecto, no recordaba haber hecho nada por lo que pudiera ser felicitado. Haber ganado un premio, batido un record, acecinado a algún político diabólico. Nada, y no quería preguntar qué celebrábamos. Tengo un miedo desmedido a parecer estúpido, lo cual, supongo, debe ser de lo más estúpido. Finalmente, todo se volvió claro cuando mi madre dijo: “¿quién amaneció más viejo?”. Ya saben, con un tono similar al que la gente usa para decir “dónde está bebe”.
Bueno, me costaría mucho trabajo definir qué es o qué no es mal educado, así que le dejo en que soy distraído, sus consecuencias y motivaciones.
Podría decir que empezaré una nueva etapa con esto, pero como dije no tiene forma; este blog no tiene tema, no tiene estructura, no tiene un sentido definido. ¿Así fue pensado? Pues probablemente sí y eso es ya una contradicción, pero quizá no. Quizá, un día sólo empezó, sin ningún plan definido, sin ningún plan no definido, sin ningún plan a seguir, sin ningún plan a no seguir.
Ahora muchas cosas en mi vida pasan como si no hubiera tiempo, entonces tengo que hacer dos cosas a la vez. Hago sentadillas mientras leo un libro de lógica, leo a Truman Capote mientras cago, el libro está en ingles, entonces hago del baño, leo y practico esa lengua, duermo mientras “trabajo” (esto de ser burócrata es lo máximo), ahora escribo mientras “trabajo” (en verdad, ser burócrata es lo máximo), trabajo en otras cosas mientras debería dormir, leo a Proust mientras espero a alguno de los tantos maestros zánganos de la universidad, veo la tele mientras dibujo, pienso como formalizar esta función, “en el lugar de x yo pongo z” mientras me lavo los dientes, mientras como, cada que se puede.
Así que ahora intentaré practicar mi francés mientras hago como que escribo en este blog. Me disculparán los que pasen por aquí de lengua española que no entiendan ese idioma, y los que pasen por aquí de lengua francesa, por los disparates y barbaridades que pueda escribir.

Pd: el título es sólo para hacerme el interesante. La sentencia es de un escritor mexicano que no me gusta tanto pero que no me parece tan malo (Xavier Velasco, Diablo guardián), lo cito no textual y lo traduzco mal traducido. En realidad las cosas que no puedo decir… pues eso, no las puedo decir; las que no puedo decir en mi lengua materna, es sólo por payaso, gracias.

***

Puis de nouveau. Il ne faut pas que je leur donne d’explication, de pour quoi ou comment ou quand ; cette chose n’a pas de structure. Pourtant, le dire c’est déjà lui donner en une ; quelque chose se configure (i hate you automatic dialectics).
Je pensais que quand je ne saluais pas aux gens je le faisais parce que je suis timide, mais on ne peut pas être timide ici, ou oui ? De toute façon, je suppose c’est parce que je suis impoli ou distrait… Distrait. Un jour j’ai oublié mon anniversaire. Par le matin ma mère et ma sœur m’embrasaient, très confondu je ne voulais pas leur questionner pourquoi tell démonstration d’affection, je ne rappelais aucun chose par laquelle je pourrais être félicité, aucun prix gagné, aucun record battu, aucun politique diabolique assassiné. Rien, et je ne voulais pas demander qu’est-ce qu’on célébrait. J’ai un peur panique de paraître stupide, sentiment qui semble, je crois, vraiment stupide. Tout est devenu claire quand ma mère a dit: “qui s’est levé plus vieux qu’hier“ Vous savez, avec un vois comme si elle lui parlait à un bébé.
Bon, je trouve très difficile de définir qu’est-ce que c’est ou ce que n’est pas être impoli ; alors on reste avec distrait, avec toutes ses conséquences et motivations.
Je pourrais dire que je commencerai une nouvelle étape dans ce blog. Mais comme je viens de dire, il n’a pas un structure, il n’a pas un sujet défini ou pas défini, il n’a pas un sens. A-il été pensé de tell manière? Peut être, mais cela serai déjà une contradiction. Mais, il est possible aussi, qu’il, un jour, a simplement commencé, sans aucun plan défini ou pas défini ; sans aucun plan pour le suivre, sans aucun plan pour ne le suivre pas.
Maintenant plusieurs des choses de ma vie se passent comme s’il n’y eût pas de temps; donc je dois faire deux choses au même temps. Je fais de l’exercice en lisant un livre de la logique, je chie en lissant Truman Capote en anglai, je chie, je lis, je pratique l’anglais, je dors pendant je “travail“ (c’est chouette être un bureaucrate), je travaille dans mes projets pendant je dois dormir (c’est chouette être un bureaucrate, n’est pas), je lis Proust en attendant quelqu’un de me paresseux professeurs de l’université, je vu la TV en dessinant, je pense comment formaliser cette fonction : “à la place de x je mis z“, en me lavant, en mangeant ; tout le temps qu’il est possible.
Ainsi, j’essayerai pratiquer mon français pendant je fais comme si j’écris ici. Je m’excuse auprès de ceux lecteurs qui parlent espagnole et qui ne comprennent pas le fraçais, et je m’excuse auprèsde ceux lecteurs qui parlent français par toutes les atrocités que je puisse écrire.

Post-scriptum : le titre est seulement pour me faire l’intéressant, c’est une citation d’un écrivain mexicain qui je ne l’aime pas beaucoup mais qui je ne le trouve assez mal (Xavier Velasco, Diablo guardián). Ce n’est pas une citation littéral, et je le traduis mal traduit, bien sur. Mais bon, la vérité est que les choses que je ne peux pas les dire… c’est comme ça, je ne peux pas les dire, et les choses que ne peux pas les dire dans ma propre langue, c’est parce que je suis un connard, merci.

17/4/09

Un tributo a Heitlegger... perdon, a Heidegger


Ayer terminé un capítulo de mi investigación en el que me jodo a Heidegger. No es que sea necrófilo, pero me gustó; lo malo de los muertos es que no emiten el más mínimo sonido. Sé que esto es pretencioso, pero quizá más pretencioso sería pretender no ser pretencioso. Les pondría el texto, pero es muy largo, árido y todo eso; y si pongo una parte no se va entender, y si lo pongo todo alguien podría morir de aburrimiento. Entonces les dejo un dibujito. Pensarán, tal vez, que es una ofensa, y sí… pero en muchos sentidos también es un tributo, después de todo uno no puede criticar a ningún filósofo sin antes haberlo leído con cierta pasión, hasta el asco, a veces. En un futuro yo quisiera que alguien me hiciera caca, que destruyera mis pensamientos, de los que seré culpable por haberlos escritos. Como sea…





Nietzsche escribió algo así como que (cito no textual) “no hay nada peor que esperar un Griego y encontrase con un Alemán”; pero yo creo que es peor esperar un Alemán del siglo XX y encontrase, otra vez, con un intento de griego del antes de Cristo.

14/4/09

Regresado

Finalmente terminé en otro lado, uno que no mira ni hacía el este ni al oeste, más bien hacia el sur, un poco al oeste. Así que allí, el sol ni nace mojado ni se muere ahogado. Extrañamente no había pensado en esa posibilidad. La vida se llena, quizá justamente en los vacíos, con el significado que le damos a las cosas, a los lugares, a los momentos, a las personas; aunque pasa, también, exactamente al revés. Como sea, no ver el sol muerto en el límite del agua, ni esperarlo para señalar el inicio del día (algo que nunca he hecho, mis días no nace, mueren), fue visionario.




Cierto, ya no me atrevería a arrancarle la tenaza a un cangrejo… de hecho, creo que nunca lo hice. Menos, claro, si es un cangrejo ermitaño.




Pensaba contarle mi secreto a un hoyo hecho por un cangrejo en la arena, como esa historia en “in the mood for love” y en “2046” (que acabo de ver ayer y me hizo llorar, y sí, soy cursi y qué), que dice que los antiguos chinos cuando tenían un secreto que no querían contar a nadie, subían a una montaña y buscaban un árbol en el que hacían un hoyo y le susurraban el secreto, luego lo tapaban con barro. Mi método tenía la ventaja de que la pleamar se llevaría el hoyo con todo y secreto. Sólo que una vez allí, me di cuenta que ya no había secreto que contar, que el drama se había acabado, que cada vez queda menos de todo y más de sólo un nombre de siete letras, como el zurrón que dejan algunos insectos para poder crecer, un espacio vació que guarda apenas las reminiscencias superficiales de algo que fue, que no es un camino sobre el cual podríamos volvernos. Parece que siempre estamos al borde del olvido, de olvidar y ser olvidados. Sólo la persistencia, y la insistencia como algo que fue y quiere seguir siendo nos aleja de ese emborronamiento, como volver siempre a dibujar una imagen que a diario es borrada. Un rio nunca es el mismo, pero insiste siempre en parecerse a lo que fue a cada instante que pasa; aunque la lluvia y nuestras manos le jueguen chueco. Entonces, recordar no es volver a vivir, revivir lo pasado, sino que revivir es construir el recuerdo, volver a escribirlo para que no se pierda, cada vez, entre paso y paso, momento y momento, quizás un poco como el teléfono descompuesto.


[Tembló mientras estaba acostado prácticamente sobre la tierra, quizá será lo más cercano que estaré de un temblor, de la tierra… como cuando recostada mi cabeza sobre su vientre le gruñeron a ella las tripas… sólo olvido, aún se dibujan ciertos recuerdos (como no recordarte mientras el agua salada me lame los pies, una y otra vez, y las olas suenan como el estomago de una animal con un hambre milenaria, que se vuelve a dibujar, cada vez, un poco diferente, un poco igual); no obstante…]


8/4/09

Un pequeño viaje

Me marcho al extremo occidente. Se queda Julio, como descubrirán él hablo poco o, más bien, nada.

“El aire arrastraba un mechón de pelo sobre su frente demasiado clara, como el guiño del momento, de que algo se avecinaba. Cosas que sólo podían decirse con cierto retraso, re-trazando el momento con algo que no era lo que se decía. Entonces, miraba hacía ningún lugar, hacía como que miraba, y, volteando lentamente, retirando el pelo de su frente, como si abriera el telón a un espectáculo patético, mirándome quizá por sólo un segundo, se dirigió a mí con voz suave.
-Descubrirás que, a diferencia de cuando eras un niño, ya no tendrás la sangre fría para arrancar la tenaza a un cangrejo y regresarlo al mar desarmado.
“Quizá no”, dije yo. En el fondo, sin saber qué decir, sólo un acto mecánico. ¿Qué significaba? ¿Estar envejeciendo?… Envejecer es llenarse de nuevos miedos, es volverse consiente, llegar siempre tarde por detenerse a pensarlo.
Ahí, en el centro, entre el ruidero de los carros, el bullicio de la gente, a mitad de un lugar informe de materias muertas, tan lejos de la orilla, de la lengua salada del mundo que lamió nuestros pies cuando fuimos los dos niños, ella me recuerda esto, sabiendo que me recuerda a ella; otra que no es ella…
El silencio nos envenena como el oxigeno a peces fuera del agua.”

Track para este viaje: Yumeji’s theme + Angkor Wat Theme Finale.

(Tengo que conducir varias horas y me duele la espalda… ¡Puta madre!
Nos vemos en unos días.)

6/4/09

Si el coco fuera asiático o Paganini tocado por una niña china

El coco debía ser un asiático bajo la cama. Qué miedo... A oscuras, te cubres con las cobijas pero la angustia no se va. Te imaginas a Akira Kurosawa, entre la oscuridad y el polvo de debajo de la cama, con su piel súper liza y sus cachetes regordetes; nada te dice, no dice ¡buu!, pero sabes que te mira, sin poderlo ver mirarte, desde detrás de sus gafas oscuras. O Yoco Ono, gritando como en ese track de Sonic Youth (Voice Piece For Soprano) con su pelo de campesina del siglo XVI. Quizá se sale de debajo y comienza a tocarte y mirarte con sus ojos de hormiga, tal vez empieza a parecerse a Lyn May, Lyn May a una máscara de samurái; y lo más terrible es que tienes una erección o te percatas, por cierta humedad entre tus piernas, que estás excitada… cómo, por qué… es un misterio, como un haiku que habla sobre el vacío pero nadie entiende, claro, excepto los japoneses o los chinos, que pueden dibujar tu alma con un trazo largo y rápido de tinta china sobre papel arroz. O podría ser Yukio Mishima con el vientre eviscerado, haciendo gárgaras con sangre, algo que justo antes del final suena a como hacer el amor; la sangre se derrama por todo el piso de tu habitación; “la gloria es amarga”, pero esta huele a pollos degollados y excremento. O un personaje de una película de Takachi Miike, Ichi, the killer, está bajo tu cama, temblando, angustiado después de haber matado a una docena de Yakuzas casi sin querer, casi sin querer podría partirte en dos antes que dijeras: ¡hay!

No sé, debe ser el hecho de que son una cultura tan diferente a la nuestra. Es increíble su capacidad de disciplina. Hoy encontré un video de una niña china que toca la guitarra clásica como si fuera de otro planeta. Toca el capricho No. 24 en A menor de paganini, la-la-la-do-si-la-mi-mi… se los iba cantar pero tengo fea voz. Muchos preferirán la versión original para violín, pero la onda es que las transcripciones suelen complicar las cosas. Quizá de violín a guitarra no hay tanto problema, es un instrumento melódico y no armónico con un registro pequeño, hay piezas para piano que no se podrán tocar en guitarra nunca, bueno, hasta que a uno de esos chinos le salga otra mano. Como sea, la afinación del violín es muy diferente a la de la guitarra y las posiciones quedan a veces incómodas. Además es bien sabido que paganini compuso madres bien difíciles de tocar porque tenía las manos del tamaño del culo del mundo. ¿Cómo es eso? Pues no sé, pero los argentinos siempre mandan a toda la gente allá, así que ha de ser un lugar bien grande. Por cierto, de las cosas que más recuerdo de argentina es una película (Happy together) que filmó un chino, Wogn Kar Wai, que seguro no se parece nada a argentina, porque ese tipo hace que todo se vea fascinante, hasta uno se enamora de Norah Jones en “My blueberry nights” y no es como que la chica más bonita… me imagino esa escena en “In the mood for love”, una chica china, elegantemente vestida, camina no lenta, sino cadenciosamente, con un termo en la mano que contiene tallarines, al ritmo de “Yumeji’s theme” (que, por cierto, está entre la lista de canciones que me hacen llorar, aunque no tenga letra, aunque no sea canción pues) en un pasillo oscuro iluminado apenas por unas lámparas de luz amarillenta. Está bien, ya me salí del tema, pero acordándome de Kar wai, me daría más miedo encontrarlo a él debajo de la cama que a Kurosawa, ‘ta más feo.
Estaba con Paganini, entonces. Lo que es bien sabido de Paganini es que son puros mitos eso de las manos grandotas, sólo las tenía como las del güey ese de los cuatro fantásticos que tiene el culo de chicle, bueno es una probabilidad. Lo que es cierto es que, como sea, sus obras son difíciles de tocar. Todos amamos a Paganini por eso, amamos lo difícil, si alguien tocará el capricho No. 24 con las orejas lo amaríamos más, porque sería más difícil… Está bien, estoy exagerando, no siempre pasa así. Como sea es una pieza difícil, y también bella, más las dificultades que agrega la transcripción a la guitarra, más las dificultades de la guitarra para sacarle un sonido limpio. La guitarra clásica es un instrumento muy primitivo, el interprete interviene directamente en la producción del sonido, a diferencia de un piano, por ejemplo, así que tiene sus ventajas y sus desventajas; es muy pobre en cuanto a la intensidad de sonido que se le puede sacar pero muy rica en cuanto a variaciones de timbre. Bueno, el punto es que esta niña, Lie Ji, toca que de verdad da miedo. No equivoca ninguna nota, ni poquito, tiene un sonido que es casi perfecto y sabe interpretar, entiende lo que está haciendo, todo el fraseo y esa cosas. Cuando alguien no sabe interpretar bien, que no sabe lo que está tocando, es como si le das a alguien a leer en voz alta un texto de una lengua de la que sólo conoce las reglas fonemáticas, aunque lo pronuncie bien, alguien que entiende el idioma sabe que el que lee no entiende lo que está leyendo, no llega ni a simulacro. Además, no es algo aislado, como que se la pasó estudiando el capricho No. 24 desde los siete años y pos así quien no. Por el contrario, parece como de apenas catorce y tiene un repertorio que asustaría a cualquier guitarrista profesional de treinta años o más.

Chale, ya hice esto bien largo. Ya me voy pues. Algún día seré disciplinado como los orientales y les voy a dar mucho miedo. Mientras me voy a aplastar y a darme unas chelas. Hay les dejo el video… estos niños como súper dotados o los artistas en general que consagran toda su vida a el perfeccionamiento de un arte, me producen cierta melancolía absurda, o es lo absurdo lo que es melancólico… bueno, espero no tengan pesadillas con un asiático bajo su cama.


3/4/09

Una sombra parada en la pared

Creo que a veces soy mejor escribiendo cometarios que haciendo post, como sea siempre está la opción de hacer un post con los comentarios, hay que economizar ¿no?...

“La sombra es como lo que va dejando el que escribe, que se arrastra a su paso, esta línea, por ejemplo, de la que no puedo deshacerme. El intento fallido de querer decir y sólo decir algo, alguna otra cosa tal vez, como las pruebas de un crimen que no ha sucedido, pero del que somos culpables. La sombra es el intento fallido en el que queremos decirnos, sin conseguirlo.”


[comentado en: moni zombie]

2/4/09

Sobre lo bueno y lo malo de no tener amigos

[Diálogo 1: Julio y °venganza]

Julio: Lo mejor de no tener amigos es que jamás tendré que ir al velorio de uno.
°venganza: ¿Y lo malo?
Julio: Pues un chingo de cosas… pero me aguanto como los meros cobardes.
°v: Bueno, pero eso del velorio lo dices porque no te gusta asistir a lugares donde se reúnan más de tres personas. Contándome a mí, a lo mucho no te sentirías incómodo con otro más; sólo uno, que fuera del sexo que llamamos femenino, preferentemente.
J: Sabes que no me gusta llamar la atención.
°v: No es que no te guste es que, según yo sé, no sabes. Y como quieres que toda la atención esté sobre ti… el que sólo haya una persona más lo facilita.
J: Tal vez… ¿Pero tú cómo podrías saberlo? ¿Y por qué dices eso del velorio?
°v: Porque así es. No puedes tener miedo a una pérdida… ni siquiera puedes tener empatía sobre las cosas de la muerte. Sería como pedirle a un vaso de leche que se imaginara lo que es estar embarazado o que te explicara de forma coherente cómo se siente besar a alguien que has amado; ni yo podría, de hecho.
J: Te estás perdiendo en el camino, eres un charlatán. De verdad que no sé cómo es que aún hablo contigo.
°v: Simple. No puedes evitarlo… Aunque quizá tienes razón. Lo que quería decir es que eso de lo bueno de no tener amigos aplica en ti a que no tendrías que asistir a alguna reunión con su familia, a algún cumpleaños. No porque te importe, no porque te conmueva; sólo porque no soportas a la gente.
J: Pero no puedes saberlo. Son sólo conjeturas. No puedes pretender mirar más allá de tus propios pensamientos.
°v: Quizá no. Pero lo sé todo de ti. Yo te puse ese nombre del que siempre te quejas, porque sabía que te quejarías…
J: Pero en el fondo no tienes idea. Ve cómo estás temblando. Siempre dudas, a diferencia mía. Todo esto que te imaginas es justamente lo contario. Aquello que crees verdad, sin contar que jamás podrás pasar de ese creer… es justamente lo contrario. No te has dado cuenta que el mundo está invertido…
°v: Tú qué puedes decir… sólo blofeas.
J: Quizá, pero estás entrando en pánico. Lo cierto es que yo sé cosas de ti que ni siquiera tú sabes y que jamás podrás saber. Porque tienes miedo… ¿Te ríes?... ¿Has visto como llorar y reírse son muy parecidos?... Es lo mismo que el sol en el oriente al alba y el sol en occidente al ocaso.
°v: Puedes pensar lo que quieres, puedes pretender lo que quieras, puedes decir, sentir lo que quieres; porque es, y tú lo sabes, lo que yo quiero, aunque yo no lo sepa. Puedes entonces querer seguir con esta farsa, hacerte el interesante; pero yo, sólo yo, puedo hacer que te calles.




J: Ja...

¿Continuará?...

Moraleja 1: “Lo mejor de no tener amigos es que no asistirás al velorio de ninguno de ellos”

30/3/09

Sólo los muertos pueden resucitar a los 190 días (a propósito de este instante)

A fuera, alguien dice: “¡No mames güey!” -empezando con un tono muy agudo, como si el que hablara se desplazara a gran velocidad, pero sólo camina, acompañado de risas que él no emite; el cambio de tono significa algo más que los puros signos fonéticos no pueden decir. La voz se ahoga, sin embargo, la risa no se sostiene… se acerca un camión con “música” dominada por tonos agudos, casi metálicos, y una voz que sobre sale: “Eeeeel pan… cuAAtro, cuAAtro piezas, por sólo 10 pesos… un suuper pan, por un suuuuper precio ”. Yo escribía [fragmento del subcapítulo 4.1 “La formación conceptual”, en el capítulo 4 “Prótesis” en: “Una prótesis programática, la Prótesis y la comprensión del arte”]: “Esa posibilidad, entonces, de transferir una palabra, en cuanto rótulo de un concepto que aparece como signifi…” Pensé… la verdad es que no tengo ni puta idea de qué fue lo que pensé, bueno, no en ese instante justo… de hecho, ahora me pregunto, ¿qué abarca un instante? Es una palabra que no significa ninguna medida, los instantes están hechos de instantes. La vida está hecha de instante, como una unidad cualquiera en la que una persona fracciona su existencia, intenta darle sentido a un flujo de algo que no se sostiene en ningún lugar ni, evidentemente, en ningún momento, pero sucede. “El instante de mi pie descalzo sobre una banqueta húmeda, el instante que te miré, para que al instante que me vieras yo dejara de hacerlo, el instante que contiene esos instantes, un sólo parpadeo o un beso que en nuestros cortadores isócronos del transcurrir marca 30 minutos”… pensarán en la fotografía: “la captura de un instante”… ¿Pero no pasa más bien que el fotógrafo des-instantaniza la existencia, como una operación quirúrgica, maquínico-digital ahora, hace una diéresis (un corte) en el tiempo, una exéresis (una extracción) del tiempo, para separarlo en un papel sensible en el que lo sintetiza (lo une)? Son por eso esos objetos seres extraños, la negación de nuestra experiencia que sólo atina a decir “instante”, como el síntoma de la incapacidad por definir el tiempo que nos abarca y atraviesa, más allá de balbuceos informes. El objeto fotográfico realizado, como lugar enajenado de la existencia, pesa algunas veces sobre la conciencia como un malestar o reproche persistente, pero también sobre el otro lado del espectro, como una droga hecha de nostalgia pura. “Toute nostalgie est un depassment du present” (Toda nostalgia es sobre pasar el presente. Cioran). Pero sólo hay presente y nosotros vivimos en las imágenes como los lugares en los que nos resguardamos de nuestra incomprensión, de nuestra incapacidad de asimilar el momento como un lugar inexistente que no deja de suceder y negarse.

Agua de rio seco

Todo lo que tengo es el presente,
hecho de las cosas de ayer,
pensadas para ser mañana.
El pasado siempre muerto,
el futuro nunca vivo,
los dos apelmazados en un sólo hoy.
Hoy, donde el mañana nunca llega
Y el ayer no se va nunca.
El presente es tragar saliva,
y escupir,
es echarse agua entre las manos
y ver cómo se escurre,
volver a hacerlo, y volver,
hasta el hartazgo.
El final siempre se acerca,
nunca llega ¡Nunca!
¿Viene de atrás, va hacia delante?...
nunca llega.

(Escrito en una servilleta manchada de capsut, se escucha lindo pero debo dejar de hacerlo, no es funcional y suelo perderlas)

Postdata (por si no se entendió el título): es por el abandono en que tengo el Blog.