5/10/09

Il y a des choses que je ne peux pas dire dans ma propre langue

De nuevo entonces. En realidad no tengo que dar explicaciones de por qué o cómo o cuándo; este lugar no tiene forma. Sin embargo, al decirlo ya lo estoy haciendo, algo se configura (i hate you automatic dialectics).
Pensaba que cuando no me despedía o no saludaba a la gente lo hacía porque soy tímido, pero uno no puede ser tímido por aquí, o sí?, como sea supongo que es porque soy mal educado o distraído… Distraido. Un día olvidé mi cumpleaños, mi madre y mi hermana me daban un abrazo por la mañana, muy confundido no quería preguntar por qué tal muestra de afecto, no recordaba haber hecho nada por lo que pudiera ser felicitado. Haber ganado un premio, batido un record, acecinado a algún político diabólico. Nada, y no quería preguntar qué celebrábamos. Tengo un miedo desmedido a parecer estúpido, lo cual, supongo, debe ser de lo más estúpido. Finalmente, todo se volvió claro cuando mi madre dijo: “¿quién amaneció más viejo?”. Ya saben, con un tono similar al que la gente usa para decir “dónde está bebe”.
Bueno, me costaría mucho trabajo definir qué es o qué no es mal educado, así que le dejo en que soy distraído, sus consecuencias y motivaciones.
Podría decir que empezaré una nueva etapa con esto, pero como dije no tiene forma; este blog no tiene tema, no tiene estructura, no tiene un sentido definido. ¿Así fue pensado? Pues probablemente sí y eso es ya una contradicción, pero quizá no. Quizá, un día sólo empezó, sin ningún plan definido, sin ningún plan no definido, sin ningún plan a seguir, sin ningún plan a no seguir.
Ahora muchas cosas en mi vida pasan como si no hubiera tiempo, entonces tengo que hacer dos cosas a la vez. Hago sentadillas mientras leo un libro de lógica, leo a Truman Capote mientras cago, el libro está en ingles, entonces hago del baño, leo y practico esa lengua, duermo mientras “trabajo” (esto de ser burócrata es lo máximo), ahora escribo mientras “trabajo” (en verdad, ser burócrata es lo máximo), trabajo en otras cosas mientras debería dormir, leo a Proust mientras espero a alguno de los tantos maestros zánganos de la universidad, veo la tele mientras dibujo, pienso como formalizar esta función, “en el lugar de x yo pongo z” mientras me lavo los dientes, mientras como, cada que se puede.
Así que ahora intentaré practicar mi francés mientras hago como que escribo en este blog. Me disculparán los que pasen por aquí de lengua española que no entiendan ese idioma, y los que pasen por aquí de lengua francesa, por los disparates y barbaridades que pueda escribir.

Pd: el título es sólo para hacerme el interesante. La sentencia es de un escritor mexicano que no me gusta tanto pero que no me parece tan malo (Xavier Velasco, Diablo guardián), lo cito no textual y lo traduzco mal traducido. En realidad las cosas que no puedo decir… pues eso, no las puedo decir; las que no puedo decir en mi lengua materna, es sólo por payaso, gracias.

***

Puis de nouveau. Il ne faut pas que je leur donne d’explication, de pour quoi ou comment ou quand ; cette chose n’a pas de structure. Pourtant, le dire c’est déjà lui donner en une ; quelque chose se configure (i hate you automatic dialectics).
Je pensais que quand je ne saluais pas aux gens je le faisais parce que je suis timide, mais on ne peut pas être timide ici, ou oui ? De toute façon, je suppose c’est parce que je suis impoli ou distrait… Distrait. Un jour j’ai oublié mon anniversaire. Par le matin ma mère et ma sœur m’embrasaient, très confondu je ne voulais pas leur questionner pourquoi tell démonstration d’affection, je ne rappelais aucun chose par laquelle je pourrais être félicité, aucun prix gagné, aucun record battu, aucun politique diabolique assassiné. Rien, et je ne voulais pas demander qu’est-ce qu’on célébrait. J’ai un peur panique de paraître stupide, sentiment qui semble, je crois, vraiment stupide. Tout est devenu claire quand ma mère a dit: “qui s’est levé plus vieux qu’hier“ Vous savez, avec un vois comme si elle lui parlait à un bébé.
Bon, je trouve très difficile de définir qu’est-ce que c’est ou ce que n’est pas être impoli ; alors on reste avec distrait, avec toutes ses conséquences et motivations.
Je pourrais dire que je commencerai une nouvelle étape dans ce blog. Mais comme je viens de dire, il n’a pas un structure, il n’a pas un sujet défini ou pas défini, il n’a pas un sens. A-il été pensé de tell manière? Peut être, mais cela serai déjà une contradiction. Mais, il est possible aussi, qu’il, un jour, a simplement commencé, sans aucun plan défini ou pas défini ; sans aucun plan pour le suivre, sans aucun plan pour ne le suivre pas.
Maintenant plusieurs des choses de ma vie se passent comme s’il n’y eût pas de temps; donc je dois faire deux choses au même temps. Je fais de l’exercice en lisant un livre de la logique, je chie en lissant Truman Capote en anglai, je chie, je lis, je pratique l’anglais, je dors pendant je “travail“ (c’est chouette être un bureaucrate), je travaille dans mes projets pendant je dois dormir (c’est chouette être un bureaucrate, n’est pas), je lis Proust en attendant quelqu’un de me paresseux professeurs de l’université, je vu la TV en dessinant, je pense comment formaliser cette fonction : “à la place de x je mis z“, en me lavant, en mangeant ; tout le temps qu’il est possible.
Ainsi, j’essayerai pratiquer mon français pendant je fais comme si j’écris ici. Je m’excuse auprès de ceux lecteurs qui parlent espagnole et qui ne comprennent pas le fraçais, et je m’excuse auprèsde ceux lecteurs qui parlent français par toutes les atrocités que je puisse écrire.

Post-scriptum : le titre est seulement pour me faire l’intéressant, c’est une citation d’un écrivain mexicain qui je ne l’aime pas beaucoup mais qui je ne le trouve assez mal (Xavier Velasco, Diablo guardián). Ce n’est pas une citation littéral, et je le traduis mal traduit, bien sur. Mais bon, la vérité est que les choses que je ne peux pas les dire… c’est comme ça, je ne peux pas les dire, et les choses que ne peux pas les dire dans ma propre langue, c’est parce que je suis un connard, merci.

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